Eh oui, enfin ! je suis la!

Eh oui, enfin ! Après près de 3 ans d’inactivité, le blog reprend du service, et pas avec n’importe quel article…En effet, après un aussi long silence bloguesque, impossible de revenir comme ça, sans la moindre explication.

L’église de Marciac

Depuis quelques mois, j’avais envie d’écrire mais j étais bloqué par tous ces moments que j’ai subis

retour en 2019

En debut d’année 2019 alors que j’avais lancé le club de cyclotourisme Le CYCLO TEAM MARCIAC le 19 mars je perd ma maman subitement du jour au lendemain. Entre le décès de ma maman et l’organisation des randonnées du club je me sens un peu pommé et surtout surchargé j’en laisse mon activité de réparation et de recyclage de cycles. Je suis aider par le pépère notre trésorier mais il y a que lui qui met les mains à la pâte.

En 2020

Les adherents du club deviennent de plus en plus agressif sur les parcours et mettent en danger les sorties.

Plus de docteur à Marciac depuis plusieurs mois et a une semaine des élections le maire du village pour être élu sort sa baguette magique et fait venir un docteur.

GISELE MOLLE MA MAMAN 1934 2019

Un an après ma mère, mon père ne va pas très bien, après plusieurs chutes dans la maison, Je fais appel a ce nouveau docteur et il ce retrouve dans un lit médicalisé, le nouveau docteur supprime son traitement alors qu’il ne devait jamais en être privé.

Je fais appel a des infirmieres pour les soins toilette à domicile. Je m’occupe aussi de mon papa jour et nuit

YVES MOLLE MON PAPA 1925 2020

Mars 2020 les premiers mois de confinement du au protocole contre cette nouvelle épidémie le fameux Covid19. Maison maison et activités maison home trainer tapis de marche…

A plusieures reprise ce nouveau docteur ne veux plus ce déplacer ne remplis pas ses fonctions de docteur.

Mon Papa me demande ses médicaments c’est dur dur, depuis plus de 3 mois je passe des nuits blanches Je me met en colère je contacte l’ancien docteur qui s’occupe de la maison de retraite par l’intermédiaire d’un infirmier adhérent de notre club. Mais pas de réponse est ce la faute de cet infirmier qui n’a pas voulut. Alors que ce médecin s’occupait aussi des personnes âgées de plus de 80 ans de Marciac. Mystère a cause de cette maltraitance et mauvaise médecine Marciacaise mon Père décède le 20 juin 2020.

Un mois après ses 95 ans c’est la fin devant ma femme et moi même, je lui ferme les yeux.

Adieu mon papa, j’aurai du porté plainte mais je n’en est pas la force

Lui qui voulait fêter ses 100 ans.

J ai voulu rebondir, je suis plus actif, mes activités continu et surtout sans contact

Aujourd’hui je ne suis pas « IN MARCIAC » je ne suis plus « Marciacais » Je ne suis pas Municipalité je ne suis plus Président d’Association Marciacaise, je ne suis plus adherent d’association Marciacaise.

Ma femme et moi avons beaucoup souffert dans cette bourgade de mafieux de bobos ce n’est plus mon Marciac de naissance.

Cette année après la remise en état de la maison familliale, nous allons vendre et partir pour un coin de repos une retraite bien mérité.

Par contre des balades en bicyclette seront prévu avec photos et commentaire dans ma region mais sans club, sans fédération.

Je vais aussi écrire mon livre dont le titre sera « LE TOUR DE THIERRY »

Fermé aux public mon atelier continu petit a petit suivra d’une vente de vélos et vide maison dans l’année. A bientôt Thierry Mollé

Une sortir Gersoise

HOMMAGE A MAMAN ET PAPA JE VOUS AIME

Le livre Morceaux de Bravoure de Eric Delanzy

9782915586558FS.gifLes 100 plus belles histoires du tour de France

Bonjour à ce moment je suis en pleine lecture, avant je n’aimai pas trop mais a force c’est le rituel de toutes nos soirées vues à la télé il y a que du vue et revue et nos cerveaux en ont marre de leur pubs qui sont la destruction de nos neurones. Ce livre est parfait un côté illustration à chaque page et un côté lecture avec plus de 100 histoires du tour depuis les débuts.

Le Tour de France, c’est plus de cent ans de joies, de rêves et d’exploits. Créée en 1903, la Grande Boucle est l’épreuve sportive la plus populaire au monde.

Les plus grands champions du siècle en sont les héros… Vous revivrez, dans cet ouvrage, la grande aventure du Tour à travers 100 belles histoires superbement illustrées. Vous y croiserez toutes ses étoiles, d’Eugène Christophe à Lance Armstrong, en passant par Fausto Coppi et Gino Bartali, Louison Bobet, Jacques Anquetil, Raymond Poulidor, Eddy Merckx, Bernard Hinault, Laurent Fignon, Greg LeMond, Laurent Jalabert, Richard Virenque et tant d’autres…

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Vous découvrirez la vie de la caravane et de ses grandes figures, d’Antoine Blondin à Tino Rossi, les aléas de la course, les facéties des coureurs et du peloton…

Au fil d’anecdotes plus étonnantes les unes que les autres, cet ouvrage vous transportera de l’Alpe-d’Huez aux Champs-Elysées à la vitesse des Maillots jaunes…

L’auteur : Eric Delanzy est journaliste sportif. Il collabore à différents quotidiens et hebdomadaires nationaux. Passionné du Tour de France depuis son plus jeune âge, il nous fait découvrir ici la face cachée de la plus grande épreuve sportive nationale à travers des anecdotes originales qui retracent plus de cent ans de passion.

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Spécial Noël le livre de Pierre Giffard « la fin du cheval »

Une idée cadeau de valeur le livre de Pierre Giffard « la fin du cheval »

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Pierre Giffard  » La fin du Cheval » première édition

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Encore un livre qui va faire parti des étagères de mon atelier social « Le Tour De Thierry » qui apporte vraiment du bien et de l’histoire à notre passion…

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L’apparition de la Reine bicyclette constitue vraiment un bien social affirme Pierre Giffard. Elle accroît en effet considérablement la mobilité du grand nombre. Dans « La fin du cheval » le journaliste et écrivain consacre l’introduction et un chapitre à la bicyclette. Des textes historiques, ou l’auteur, d’une plume alerte et militante, prédit le succès foudroyant du vélo, bientôt balayée par les voitures.

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C’est en effet à la bicyclette que reviendra, dans l’histoire de la locomotion, l’honneur d’avoir secondé, à un demi-siècle de distance, l’action des chemins de fer et préparé la voie aux automobiles.

A peine surgit-elle, mignonne, fluette, défendue en 1890 par l’auteur de cet ouvrage comme elle méritait de l’être, contre les méchants propos d’une humanité routinière, que sa place est sans délai marquée sur les pas du cheval.

Il a suffi qu’un homme expliquât au peuple qu’il ne sera pas ridicule en montant sur ses deux roues. Satisfait de savoir que ceux qui riront de lui ne seront que des sceaux, le peuple de France, toujours timide quand il s’agit de progrès, et après lui l’humanité tout entière se mettent à raffoler du vélo.

C ‘est d’abord un timide essai. Rasant le terre, fuyant loin des regards malicieux, je m’en souviens comme si c’était hier, les timides néophytes s’en allaient prendre les quatre ou cinq leçons nécessaires au maintien de leur équilibre dans les chemins écartés, sur les routes désertes. Tels les premiers chrétiens célébrant les mystères de leur culte dans les catacombes de Rome.

Au passage d’un profane, piéton se rendant à son ouvrage ou bonne femme cherchant des herbes à travers la campagne, on s’arrêtait, on hésitait, on était tout honteux, on avait peur de quelque chute humiliante. Et les premiers moniteurs, gens convaincus, protestaient contre ce respect humain. Vainement, au surplus ; sous le moindre prétexte on interrompait la leçon de cette équitation bizarre pour laisser passer la philistin…

J’avoue que lorsque je sus me tenir pour la première fois d’une façon correcte sur la bête de fer, ma première pensée fut celle-ci : enfin on va pouvoir se passer du cheval ! J’entendais par là le cheval considéré comme moyen d’exercice, de promenade, de locomotion individuelle, de puissance. C’était déjà beaucoup. Et ce fut très vite une réalité.

A peine sus-je monter à bicyclette que je partis pour Rouen…

Et plus tard, les voyages succédant aux voyages, les kilomètres à travers la France, la Suisse, l’Allemagne, s’aoutant aux kilomètres par milliers ! Etait-il assez le successeur désigné du cheval, cet instrument d’une simplicité enfantine, dont une paire de roues et un cadre d’acier formaient l’essentiel gabarit !

Comme il devait frapper l’imagination des foules ! Comme il devait vaincre l’atonie, le misonéisme humain par la seule démonstration de son utilité pratique !

 C’est ce qui arriva. Je lui avais donné dix ans pour conquérir le monde comme il m’avait conquis. Il en à mis trois ou quatre pour atteindre et dépasser des résultats tels que je n’avais point osé les entrevoir !…

L’emploi bientôt généralisé de ce nouveau mode de locomotion modifie nécessairement maints détails de la vie. Dans les maisons Parisiennes, les architectes sont tenus à l’avenir d’aménager des remises à bicyclettes. Une nuée de loueurs et de réparateurs sort de terre et peuple tous les quartiers de Paris. Il n’est pas un marchand de vins – et Dieu sait s’ils sont nombreux – des quartiers excentriques et de la banlieue grande ou petite qui n’ait désormais devant sa porte le râtelier destiné à recevoir les vélos de passage. Et, tandis que leurs propriétaires se rafraîchissent devant la porte, à la « terrasse », les vélos ne demandent rien. A peine une gouttelette d’huile tous les 50 kilomètres. Tels on les a placés à l’arrivée, tels on les retrouve au départ, toujours parés, comme on dit à la mer.

De quelle race de chevaux pourrait-on faire un semblable éloge ? Pas même de cette famille des arabes que Mahomet fit soigner si généreusement au lendemain de l’hégire. Triomphe de la matière sur la vie !

Les esprits grognons ont beau marmotter que c’est une mode, qui passera comme le café, suivant l’expression classique, l’apparition de la reine Bicyclette constitue vraiment un bienfait social.

Nous voici au seuil d’un siècle qui verra l’homme se séparer du cheval.

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Ainsi commence la fin du cheval, un livre clairvoyant et magnifique. Sur la couverture gaufrée de la première édition, un cheval fougueux, dessiné de face par Albert Robida, roule des yeux noirs à la vue d’une cohorte de cyclistes.

Pierre Giffard y parle de la « reine bicyclette », titre de son précédent ouvrage consacré à l’histoire du vélo (la reine bicyclette, histoire vélocipède depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, Paris, firmin Didot, 1891) et formule qui sera repris sous le nom de « petite reine » Reporter et écrivain prolixe, passionné par les technologies modernes, Pierre Giffard (1853- 1922) fut un pionnier de la presse sportive et une plume de talent.

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En 1891, il lança pour le compte du petit journal la course cycliste « Paris-Brest-Paris »

On lui doit aussi la course automobile « Paris-Rouen » et le Marathon de Paris (1896).

Alors qu’il est rédacteur en chef du quotidien sportif « Le vélo » son opposition avec son principal annonceur « Le comte de Dion » sur fond d’affaire Drefus, sera à l’origine de la naissance d’un quotidien sportif concurrent « L’Auto-Vélo » qui créera en 1903 le « Tour de France »

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Idée Cadeau de Noël « petits cycles de bonheur »

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Encore une idée cadeau de Noel avec ce livre qui est un voyage. Un voyage réel – et littéraire – sur une machine qui n’a pas fini de faire tourner des milliards de jambes sur la planète : le vélo. La « petite reine »

Dans « petits cycles de bonheur », un parisien féru de philosophie et de vélo nous livre souvenir et réflexions, pour montrer l’élégance, la magie et l’universalité de la bicyclette. Il consacre quelques pages au tandem et lui attribue un fort pouvoir évocateur : l’accord parfait du couple et l’insouciance de l’été 1936.

J’ai souvent regardé les photos de Willy Ronis, particulièrement celles ou il à saisi l’atmosphère des premiers congés payés. On y voit des couples souriants, donnant une inégalable impression d’insouciance. Qui ne les envierait ? Sur l’une d’elles, un homme et une femme en train de faire du tandem, elle derrière et lui devant. Je n’ai d’ailleurs jamais vu l’inverse. C’est l’été, le seul été dont on se souvienne sans l’avoir vécu, l’été 1936.

Il s’est vendu beaucoup moins de tandems que de vélos traditionnels, mais la portée affective du tandem était trop tentante. Il incarne ce que les laborieux de 1936, à la différence des nantis, sont censés détenir. Le tandem, c’est le vélo du couple, comme si la pauvreté des travailleurs, comparée à la richesse de la bourgeoisie roulant en voiture, était compensée par leurs relations sentimentales. Pour rouler en tandem, il faut un parfait accord entre les deux acteurs, ils doivent se parler, se coordonner, pédaler au même rythme. Ne pas tricher en faisant semblant. Bref, s’entendre et tenir compte de l’autre s’ils veulent maintenir leur équilibre, avancer et arriver à bon port. La relation affective harmonieuse est un gage d’efficacité. Et sur le plan social, la place de chacun est respectée : lui devant elle derrière, le vélo conforte les règles de la société amoureuse d’alors. Elle suit, elle est protégée ; apparemment, elle ne guide pas. Dans les faits, le poids du corps situé à l’arrière agit fortement sur la conduite de l’engin, comme j’ai pu l’expérimenter à plusieurs reprises. La femme influence et n’agit pas directement, les apparences sont sauves.

Les cyclistes de 1936 sont pauvres, mais ils ont des sentiments l’un pour l’autre. Ils n’ont pas d’argent, mais ils sont jeunes, ils se parlent et ils s’aiment. Dans l’imaginaire collectif, le pouvoir des sans-pouvoir est sentimental. Ils trouvent dans les émotions de la vie ce qui leur manque par ailleurs. Quelle que soit la réalité de leurs histoires personnelles.

« Petits cycles de bonheur » édition Arléa, 2007

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Petits cycles de bonheur relèvent à la fois du témoignage personnel et de l’essai. Consultant en stratégie pour les entreprises, Pierre-louis Desprez enseigne aussi la philosophie ; il a lu les grands auteurs et s’y réfère abondamment. Au fil des pages, on croise ainsi Rousseau, Freud (qui exécrait la bicyclette !), Montaigne, Pascal, Proust, Descartes ou encore Barrès, qui attribuait au vélo « la satisfaction d’un besoin antique : le vagabondage »

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On naît bicyclette ou vélo, plusieurs façons de faire du vélo…

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En cette période de froid un peu d’Home trainer mes 45min par jours et de la gym une fois par semaine et retour à mes livres, à mon blog site ou je prépare mes articles en avance j’ai fait jusqu’au 1 er janvier 2018…

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Mais aujourd’hui je tiens absolument à vous parler du livre de Philippe Delerm que je suis en train de lire « La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules » encore une idée cadeau de Noël.

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On naît bicyclette ou vélo, plusieurs façons de faire du vélo…

Dans « les plaisirs minuscules » de Philippe Delerm, la bicyclette à évidemment sa place, à côté de la bière, de la séance au cinéma ou du dîner du dimanche soir. Dans ce texte léger, l’auteur rappelle qu’il y a plusieurs façons de faire du vélo, qui sont autant de styles de vie. Ce sentiment d’appartenance à telle ou telle famille cycliste est ancré au fond de chacun de nous ; c’est d’abord une affaire de sensations, de couleurs, de matières et de formes.

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C’est le contraire du vélo, la bicyclette. Une silhouette profilée mauve fluo dévale à soixante-dix à l’heure : c’est du vélo. Deux lycéennes côte à côte traversent un pont : c’est de la bicyclette. L’écart peut se réduire. Michel Audiard en knickers et chaussettes hautes s’arrête pour boire un blanc sec au comptoir d’un bistro : c’est du vélo. Un adolescent en jeans descend de sa monture, un bouquin à la main, et prend une menthe à l’eau à une terrasse : c’est de la bicyclette. On est d’un camp ou bien de l’autre. Il y a une frontière. Les lourds routiers ont beau jouer du guidon recourbé : c’est de la bicyclette. Les demi-course ont beau fourbir leur garde-boue : c’est du vélo. Il vaut mieux ne pas feindre, et assumer sa race. On porte au fond de soi la perfection noire d’une bicyclette Hollandaise, une écharpe flottant sur l’épaule. Ou bien on rêve d’un vélo de course si léger : le bruissement de la chaîne glisserait comme un vol d’abeille. A bicyclette, on est un piéton en puissance, flâneur de venelles, dégustateur du journal sur un banc.

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A vélo, on ne s’arrête pas : moulé jusqu’aux genoux dans une combinaison néospatiale, on ne pourrait pas marcher qu’en canard, et on ne marche pas.

C’est la lenteur et la vitesse ? peut-être. Il y a pourtant des moulineurs à bicyclette très efficaces, et des petits pépés à vélo bien tranquilles. Alors, lourdeur contre légèreté ? davantage. Rêve d’envol d’un côté, de l’autre familiarité appuyée sur le sol. Et puis… Opposition de tout. Les couleurs. Au vélo, l’orange métallisé, le vert pomme granny, et pour la bicyclette le marron terne, le blanc cassé, le rouge mat. Matières et formes aussi. A qui l’ampleur, la laine, le velours, les jupes écossaises ? A l’autre l’ajusté dans tous les synthétiques.

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On naît bicyclette ou vélo, c’est presque politique. Mais les vélos doivent renoncer à cette part d’eux-mêmes pour aimer car on n’est amoureux qu’à bicyclette.

« La bicyclette et le vélo »

La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules éditions Gallimard, 1997

Deux autres textes du livre sont consacrés au vélo « le bruit de la dynamo » et, bien sûr, « le tour de France »

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Voici d’autres titres sur le vélo

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