Spécial Noël le livre de Pierre Giffard « la fin du cheval »

Une idée cadeau de valeur le livre de Pierre Giffard « la fin du cheval »

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Pierre Giffard  » La fin du Cheval » première édition

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Encore un livre qui va faire parti des étagères de mon atelier social « Le Tour De Thierry » qui apporte vraiment du bien et de l’histoire à notre passion…

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L’apparition de la Reine bicyclette constitue vraiment un bien social affirme Pierre Giffard. Elle accroît en effet considérablement la mobilité du grand nombre. Dans « La fin du cheval » le journaliste et écrivain consacre l’introduction et un chapitre à la bicyclette. Des textes historiques, ou l’auteur, d’une plume alerte et militante, prédit le succès foudroyant du vélo, bientôt balayée par les voitures.

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C’est en effet à la bicyclette que reviendra, dans l’histoire de la locomotion, l’honneur d’avoir secondé, à un demi-siècle de distance, l’action des chemins de fer et préparé la voie aux automobiles.

A peine surgit-elle, mignonne, fluette, défendue en 1890 par l’auteur de cet ouvrage comme elle méritait de l’être, contre les méchants propos d’une humanité routinière, que sa place est sans délai marquée sur les pas du cheval.

Il a suffi qu’un homme expliquât au peuple qu’il ne sera pas ridicule en montant sur ses deux roues. Satisfait de savoir que ceux qui riront de lui ne seront que des sceaux, le peuple de France, toujours timide quand il s’agit de progrès, et après lui l’humanité tout entière se mettent à raffoler du vélo.

C ‘est d’abord un timide essai. Rasant le terre, fuyant loin des regards malicieux, je m’en souviens comme si c’était hier, les timides néophytes s’en allaient prendre les quatre ou cinq leçons nécessaires au maintien de leur équilibre dans les chemins écartés, sur les routes désertes. Tels les premiers chrétiens célébrant les mystères de leur culte dans les catacombes de Rome.

Au passage d’un profane, piéton se rendant à son ouvrage ou bonne femme cherchant des herbes à travers la campagne, on s’arrêtait, on hésitait, on était tout honteux, on avait peur de quelque chute humiliante. Et les premiers moniteurs, gens convaincus, protestaient contre ce respect humain. Vainement, au surplus ; sous le moindre prétexte on interrompait la leçon de cette équitation bizarre pour laisser passer la philistin…

J’avoue que lorsque je sus me tenir pour la première fois d’une façon correcte sur la bête de fer, ma première pensée fut celle-ci : enfin on va pouvoir se passer du cheval ! J’entendais par là le cheval considéré comme moyen d’exercice, de promenade, de locomotion individuelle, de puissance. C’était déjà beaucoup. Et ce fut très vite une réalité.

A peine sus-je monter à bicyclette que je partis pour Rouen…

Et plus tard, les voyages succédant aux voyages, les kilomètres à travers la France, la Suisse, l’Allemagne, s’aoutant aux kilomètres par milliers ! Etait-il assez le successeur désigné du cheval, cet instrument d’une simplicité enfantine, dont une paire de roues et un cadre d’acier formaient l’essentiel gabarit !

Comme il devait frapper l’imagination des foules ! Comme il devait vaincre l’atonie, le misonéisme humain par la seule démonstration de son utilité pratique !

 C’est ce qui arriva. Je lui avais donné dix ans pour conquérir le monde comme il m’avait conquis. Il en à mis trois ou quatre pour atteindre et dépasser des résultats tels que je n’avais point osé les entrevoir !…

L’emploi bientôt généralisé de ce nouveau mode de locomotion modifie nécessairement maints détails de la vie. Dans les maisons Parisiennes, les architectes sont tenus à l’avenir d’aménager des remises à bicyclettes. Une nuée de loueurs et de réparateurs sort de terre et peuple tous les quartiers de Paris. Il n’est pas un marchand de vins – et Dieu sait s’ils sont nombreux – des quartiers excentriques et de la banlieue grande ou petite qui n’ait désormais devant sa porte le râtelier destiné à recevoir les vélos de passage. Et, tandis que leurs propriétaires se rafraîchissent devant la porte, à la « terrasse », les vélos ne demandent rien. A peine une gouttelette d’huile tous les 50 kilomètres. Tels on les a placés à l’arrivée, tels on les retrouve au départ, toujours parés, comme on dit à la mer.

De quelle race de chevaux pourrait-on faire un semblable éloge ? Pas même de cette famille des arabes que Mahomet fit soigner si généreusement au lendemain de l’hégire. Triomphe de la matière sur la vie !

Les esprits grognons ont beau marmotter que c’est une mode, qui passera comme le café, suivant l’expression classique, l’apparition de la reine Bicyclette constitue vraiment un bienfait social.

Nous voici au seuil d’un siècle qui verra l’homme se séparer du cheval.

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Ainsi commence la fin du cheval, un livre clairvoyant et magnifique. Sur la couverture gaufrée de la première édition, un cheval fougueux, dessiné de face par Albert Robida, roule des yeux noirs à la vue d’une cohorte de cyclistes.

Pierre Giffard y parle de la « reine bicyclette », titre de son précédent ouvrage consacré à l’histoire du vélo (la reine bicyclette, histoire vélocipède depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, Paris, firmin Didot, 1891) et formule qui sera repris sous le nom de « petite reine » Reporter et écrivain prolixe, passionné par les technologies modernes, Pierre Giffard (1853- 1922) fut un pionnier de la presse sportive et une plume de talent.

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En 1891, il lança pour le compte du petit journal la course cycliste « Paris-Brest-Paris »

On lui doit aussi la course automobile « Paris-Rouen » et le Marathon de Paris (1896).

Alors qu’il est rédacteur en chef du quotidien sportif « Le vélo » son opposition avec son principal annonceur « Le comte de Dion » sur fond d’affaire Drefus, sera à l’origine de la naissance d’un quotidien sportif concurrent « L’Auto-Vélo » qui créera en 1903 le « Tour de France »

cropped-logo-gm-le-tour-de-thierryThierry Mollé

Dans ce monde de fous

 

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La bienveillance envers soi est l’art de prendre bien soin de soi, de se soigner avec le vélo par exemple…

Dans ce monde de fous ou les gens pensent qu’à salir blesser les uns contre les autres. Moi perso je fréquente de moins en moins les gens les proches car il faut penser à nous maintenant
Se divertir faire ce que l’on à envie de faire pour moi ma thérapie c’est la marche et le vélo (Des langues de vipères ont dit que je m’occupait plus du vélo que de ma femme) Un monde sans méchanceté, c’est merveilleux mais impossible ! tout arrive à ce savoir je sais beaucoup de choses
Mais ma  priorité est ma femme Sylvie qui est invalide à 80% je fais toutes les tâches ménagères pour la protégée.
« Je passe tellement de bons moments à tes cotés que Jamais je ne voudrai que cela s’arrête. Tu me procure tellement de bonheur depuis ce 27 Avril 1991. Une chose est sûre Je t’aime de toute ma force et je ferai tout pour te garder à mes côtés le plus longtemps possible. J’ai trouvé en toi une personne qui me complète à la perfection … Il n’y a que toi qui sait me donner mon sourire et cette fameuse Joie de vivre »
Je pense aussi un peu à moi je fais du sport la marche, le vélo mon sport favoris et 2018 dans un club de la Fédération Française de Cyclotourisme du Gers. Je suis à la préparation d’un ouvrage sur le vélo mon livre.
Et prépare mon atelier petit à petit mais par manque de finance c’est long. Paris ne c’est pas construit en un jour.

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(Car a cause de pas mal de personnes nous avons tout perdu et ça ne recommencera pas. Beaucoup de personnes nous ont  stressées et pompées toutes notre énergie et maintenant ont fréquente que le bien)
J’ai quand même une poignée d’amis a qui je peu compté qui sont très cher comme des frères et des sœurs Karine, Anna, Blaise, Maryline V…
Facebook nul. Maintenant du virtuel je passe au réel.
Vous êtes amis avec des centaines de personnes et êtes abonné à des dizaines de pages. Pourtant, votre fil d’actualité ne mentionne les posts que d’une poignée d’entre eux, toujours les mêmes. Pire encore, cette liste se réduit comme peau de chagrin au fil des semaines. Voilà à quoi ressemble désormais « cette plateforme » pour l’écrasante majorité de ses membres : une fête très privée où l’on ne discute plus qu’avec un cercle restreint de contacts. 
Où sont passé les autres ? déjà j’ai fait un bon tri et rassurez-vous, ils se portent bien et continuent pour la plupart d’alimenter leur profil. Ils ne vous ont pas plus bloqué et espèrent même sans doute que vous « likerez » et commenterez leurs messages. Le réseau social considère simplement, à tort ou à raison, que leurs publications ne vous intéressent pas.
Pas grave on a vécu sans Facebook…
Pour les démarches administratives que j’ai perdu pour obtenir des aides PCH aide à domicile pour avoir légalement une aide pour Sylvie. et que nous n’avons jamais acquis par exemple et autres demandes d’aides à nos chers élus des rendez-vous mais que du Bla Bla avec rien du tout ! Je trouve qu’il y a beaucoup d’élus qui touchent de l’argent à rien foutre, mais il faut rien dire je risque de me faire tuer sur la route comme Coluche…
Chez nous ce sont des zombies, tout pour eux rien pour les autres déconnectés complètement du monde réel  « cerveau jazz »
il y a que des trompettes et des saxos dans leurs têtes. J’en conclus aussi que les politiques de notre pays sont bien tous déconnectés.
Dés fonds d’aide existe mais pas pour nous pour eux les bobos costards et les minis raz de la ……….
c’est un miracle que les peuples ne se révoltent pas de façon violente.
Mais pour combien de temps encore ? Peut-on espérer que ces politiciens se réveillent un jour avant qu’il ne soit trop tard ? Personnellement, j’en doute.
Mais heureusement, d’autres « forces » agissent dans ce monde et œuvrent pour le bien être véritable de l’humanité.
Il n’est pas trop tard pour les dirigeants politiques de changer d’optique s’ils ne veulent pas finir dans les poubelles de l’histoire.
Je préfère ne pas envisager le pire. Nous sommes tous des victimes…

Nous sommes pas les vaches à lait de nos politiques

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Prendre le temps de contempler la nature que de t’occuper des autres…

C’est comme un boomerang ! Tu le lances et il te revient aussitôt. tu dit ou tu nous fait du mal, tu recevras ce mal en retour.

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Les cyclistes amateurs

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C’est l’opposition avec le sport professionnel. Les amateurs constituent la base de la pyramide. Si les pros sont la vitrine parfois fragile du cyclisme, eux en sont les fondations solides, C’est aussi comme cela que l’on nomme les grands connaisseurs, quelle que soit leur passion. Un mot qui est lié, pour beaucoup, à la découverte d’une discipline sportive. Se mettre au vélo, c’est la première étape. Par la suite, on devient rapidement un amateur de ces sensations nouvelles. Battre la campagne et découvrir de nouveaux horizons développe un fort sentiment de liberté. Et que dire de tous ceux qui vouent un culte sans limites à leur nouvelle machine ? J’ignore s’il existe d’autres disciplines ou le pratiquant tombe littéralement amoureux de son matériel.

Les cyclistes amateurs font vivre le marché du cycle et son industrie. Ils peuvent être licenciés d’une fédération, mais la majorité d’entre eux ne pratique pas la compétition. Ils roulent juste pour le plaisir, mais ils restent néanmoins de grands connaisseurs de notre sport. Ils ont parfois des compétences en mécanique et apprécient le goût de l’effort.

Le milieu amateur correspond aux instants que l’on pourrait qualifier de plaisirs.

J’y repense parfois avec un brin de nostalgie.img133 (2).jpg

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Faire du vélo n’est pas seulement un sport. C’est un bienfait social

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Cette fois c’est décidé et bien décidé : vous élisez le vélo tête de liste de vos prochaines emplettes.
Un vélo, peut-être deux ou plusieurs afin de satisfaire à la dévorante passion de vos proches en faveur du seul véhicule terrestre mû uniquement par l’être humain. A vous, bientôt, les grands espaces champêtres, les coins de nature et le plaisir non dissimulé de vous faufiler en ville à travers les autos.
Sauf que, pour en arriver là, si vous ne disposez point de solides connaissances « dans la bécane » et d’une liste aussi exhaustive que possible des trucs, astuces, pièges en tous genres, faire l’acquisition de la machine de vos rêves comme des multiples équipements et accessoires afférents n’est pas toujours chose aisée. Avec de fâcheuses conséquences possibles pour l’épaisseur de votre portefeuille, outre quelques « gamelles » assurées sur le goudron ou les feuilles mortes pour qui choisit n’importe quoi pour n’importe qui.
Histoire de bénéficier de deux roues d’avance sur les copains, grande est la tentation de fondre sur un vélo de « pro ». Le cyclisme sur route comme le VTT figurent parmi les rares sports ou n’importe qui peut acquérir un matériel identique à celui du champion du monde. Le vélo du vainqueur du Tour de France vous fait envie : ne faut-il pas trois semaines de rêve pour nourrir les 343 autres jours de l’année ? Un conseil : « le vélo du maillot Jaune « ne signifie pas grand-chose, quand on sait que les mécanos le remettent pratiquement à neuf dans la nuit à chaque étape : à ce rythme, au bout de 21 jours on ne risque guère de le voir s’user ! Et ses manivelles de pédalier de 180 mm de long ou son braquet de 56/12, près de 10m de développement à chaque tour de pédale, ne vous conviennent absolument pas.
Et puis les innovations dans le vélo, il y a les vraies, et toutes les autres. Lors d’un salon du cycle, en consultant la pile de luxueux dépliants et catalogues, nous en étions arrivés à la conclusion que les multiples perfectionnements annoncés (et qui, tous, devraient gagner du temps au coureur), montés ensemble sur le même vélo lors du prologue du Tour de France disputé sur 8 kilomètres, devaient, en toute logique, permettre à un champion de gagner tant de minutes et de secondes que leur addition le faisait arriver avant d’être parti…
Heureusement nombre d’améliorations du haut niveau se retrouvent proposées aux sportifs de la fin de semaine : indexation au guidon, prolongateurs, pédales automatiques, roulements annulaires, jeu de direction à aiguilles, jantes ovalisées « Aero », chambres à air latex gonflées à haute pression, cadre en acier léger ou en alliage d’aluminium ou en carbone dérivé de l’aéronautique, entre autres progrès réels.
En tenant compte que le bon vélo n’est rien d’autre qu’un savant compromis entre rendement, sécurité et confort. Le cadre, lequel tient lieu à la fois de châssis et de carrosserie, est à choisir en premier, en fonction de votre taille comme de l’usage projeté pour le (futur) vélo. Ensuite, selon le modèle retenu, votre vélo comptera de 1500 pièces (vélo de course sur route) à 2000 pièces (cyclotourisme, VTT, VTC, ville).
Ce vélo va s’user plus ou moins vite : en tout terrain le renouvellement des pièces apparaît plus fréquent que sur la route. Vous devez le transporter, l’équiper, le métamorphoser d’une année à l’autre. Dénicher les itinéraires les plus attractifs autant que les plus sécuritaires occupera vos soirées, penché (e)s sur cartes, plans, guides, passant des coups de fil à l’autre bout de la région ou du pays afin d’en avoir le cœur net.
A l’inverse d’autres sports, on n’a jamais eu besoin de « démocratiser » le vélo. Sport de la route et de la rue, il appartient à tous. Moyen de locomotion sans égal en matière de coût énergétique comme de préservation de la quantité de la vie, il a son avenir devant lui. Extrait de vélo pratique de Michel Delore
Thierry MOLLE : J’en suis surpris chaque jour je veux vivre de ma passion
« J’ai fait du vélo au niveau amateur dans les années 80,90, mais je n’avais pas le niveau pour passer professionnel. Etant donné que je suis un grand passionné de vélo, j’ai repris le vélo depuis un peu plus de un an et souhaite faire découvrir ma passion ».
Thierry Mollé
LE TOUR DE Thierry prochainement mon atelier vélo
Le décor est planté. Vous entrez en scène.
Silence, on roule