Voilà votre bûche est prête au frigo aujourd’hui nous allons la décorer avec des quartiers de mandarine au chocolat blanc j’adore.
Il vous faut :
·4 mandarines
·100grs de chocolat blanc
·2 cuillères à soupe d’eau
·4 cuillères à soupe de crème fraiche
·60 grs de sucre
La recette maison
·Faire fondre doucement le chocolat avec l’eau le sucre
·Incorporer doucement la crème légèrement fouettée
·Hors du feu, ajouter les quartiers de mandarine
·Verser la préparation sur une grille et laisser refroidir au frigo.
·Décoré votre bûche avec.
C’est si bon de croquer le chocolat blanc qui craque et sentir le jus de mandarine. La mandarine qui est légèrement confite car ça cuit un peu avec le chocolat et toutes les saveurs de Noêl explose en bouche.
Laissez parlez vos envies de gourmandise avec le chocolat : blanc, ou noisettes, ou coco, ou riz tout est possible.
Aujourd’hui le temps n’est pas idéal pour faire du vélo, mais des séances abdos et home trainer sont prévue pour la journée pour la forme.
Il est grand temps de préparer la bûche de Noel traditionnelle et familiale depuis plusieurs génération. J’adore mettre la main à la pâte.
Et surtout prendre en plein poumon les odeurs de Noel surtout l’odeur du chocolat fondu.
Pour cela nous allons faire la bûche maison une recette de ma grand-mère.
Voici d’ailleurs sa recette :
Pour 6/8 personnes il faut :
Pour le gâteau (la base)
6 œufs
150 grs de sucre en poudre
150 grs de farine
Le parfum vanille
Pour la crème au beurre
100 grs d’eau
100 grs de sucre
200 grs de beurre
1 œuf (le jaune)
1 cuillère à café de fécule (maïzena)
200 grs de chocolat noir supérieur
1 mandarine pour le zeste
1.Beurrez le moule plaque du four
2.Cassez les œufs en séparant le blanc des jaunes
3.Ajoutez le sucre aux jaunes et travaillez jusqu’à ce que le mélange blanchisse et fasse le ruban.
4.Parfumez de préférence avec de la vanille (petit flacon de vanille extrait)
5.Ajoutez la farine tamisée
6.Allumez le four à 5
7.Battre les blancs en neige et incorporés lés à la pâte en coupant et soulevant pour ne pas chasser l’air.
8.Versez la pâte dans un moule plat rectangulaire de la dimension de votre four (plaque du four d’origine)
9.Enfournez aussitôt et cuire environ 8 minutes
10.Pendant la cuisson préparer un torchon en coton épais. Saupoudrez le de sucre.
11.Lorsque la pâte est cuite démoulé la rapidement sur le torchon.
12.Roulez aussitôt le gâteau et le torchon.
13.Déroulez pour mettre la crème au beurre.
Pour la crème au beurre
1.Faire un sirop avec 100 grs de sucre 100 grs d’eau.
2.Cuire environ 10 minutes.
3.Le sirop est prêt quand il ce forme un fil entre les doigts comme une goutte.
4.Délayez le jaune d’œuf avec la fécule
5.Versez petit à petit le sirop en tournant
6.Remettre sur le feu doux et cuire en remuant jusqu’à ébullition.
7.Laissez refroidir un moment
8.Incorporez petit à petit le beurre en travaillant énergiquement. Parfumez au café (nescafé) ou au chocolat (environ 200 grs de chocolat ramollie avec 1 zeste de mandarine ou d’orange) garder des quartiers de mandarine pour demain*
9.Etalez le crème au beurre et rouler votre bûche ensuite avec le reste de la crème au beurre recouvrez votre bûche et ensuite mettre les décos de Noel dessus et réservé au frigo.
Pour la déco de votre bûche maison*
Voila notre bûche de Noël bon appétit et très bon réveillon de Noël
Comme toute l’année 2017 et suivra pour l’année nouvelle ce sera du sport et du sans alcool.
Maintenant je suis bien habitué, il n’y à plus une goutte d’alcool à la maison. Ce n’est pas que j’étais alcoolique mais je n’ai jamais été fan.
J’ai découvert le Festillant boisson à base de vin désalcoolisé, élaboré à base de cépages
Vinification
Elaborée à partir d’une fermentation naturelle classique en cuve, cette fine bulle est ensuite soumise à une distillation à basse température avant la mise en bouteille.
quelques Cocktails avec le festillant
voici l’Apple Cobbler
3cl de Festillant Blanc
3cl de jus de Pomme
2cl de jus de citron
2 vanilla lines
Réalisez la recette directement dans le verre. Verser les ingrédient sur des glaçons, ajouter le Festillant Blanc en dernier. Bien mélanger et servir frais. Servez dans un verre de type tumbler. Décorer d’un zeste de citron.
Le secret de la mer
20cl Festillant Rosé
2cl de sirop pamplemousse gingembre Le Nantillais
1 rondelle de citron vert
Verser le sirop et ajouter le Festillant rosé. Décorez avec une rondelle de citron vert.
Festillant une boisson très agréable et effervescente désalcoolisée dont les caractéristiques organoleptiques n’ont été que très peu modifiées.
Robe jaune pâle avec des reflets dorés, au nez notes d’agrumes. Bouche fruitée, ample, soutenue par une légère douceur. Belle longueur. A servir entre 6 et 8°C, nature ou accompagné d’un sirop de fruits à tout moment de la journée. Egalement délicieux à l’heure du dessert avec notre buche maison ou bien toute l’année sur des crêpes, des gaufres ou des tartes aux fruits.
Bonjour à ce moment je suis en pleine lecture, avant je n’aimai pas trop mais a force c’est le rituel de toutes nos soirées vues à la télé il y a que du vue et revue et nos cerveaux en ont marre de leur pubs qui sont la destruction de nos neurones. Ce livre est parfait un côté illustration à chaque page et un côté lecture avec plus de 100 histoires du tour depuis les débuts.
Le Tour de France, c’est plus de cent ans de joies, de rêves et d’exploits. Créée en 1903, la Grande Boucle est l’épreuve sportive la plus populaire au monde.
Les plus grands champions du siècle en sont les héros… Vous revivrez, dans cet ouvrage, la grande aventure du Tour à travers 100 belles histoires superbement illustrées. Vous y croiserez toutes ses étoiles, d’Eugène Christophe à Lance Armstrong, en passant par Fausto Coppi et Gino Bartali, Louison Bobet, Jacques Anquetil, Raymond Poulidor, Eddy Merckx, Bernard Hinault, Laurent Fignon, Greg LeMond, Laurent Jalabert, Richard Virenque et tant d’autres…
Vous découvrirez la vie de la caravane et de ses grandes figures, d’Antoine Blondin à Tino Rossi, les aléas de la course, les facéties des coureurs et du peloton…
Au fil d’anecdotes plus étonnantes les unes que les autres, cet ouvrage vous transportera de l’Alpe-d’Huez aux Champs-Elysées à la vitesse des Maillots jaunes…
L’auteur : Eric Delanzy est journaliste sportif. Il collabore à différents quotidiens et hebdomadaires nationaux. Passionné du Tour de France depuis son plus jeune âge, il nous fait découvrir ici la face cachée de la plus grande épreuve sportive nationale à travers des anecdotes originales qui retracent plus de cent ans de passion.
Une idée cadeau de valeur le livre de Pierre Giffard « la fin du cheval »
Pierre Giffard » La fin du Cheval » première édition
Encore un livre qui va faire parti des étagères de mon atelier social « Le Tour De Thierry » qui apporte vraiment du bien et de l’histoire à notre passion…
L’apparition de la Reine bicyclette constitue vraiment un bien social affirme Pierre Giffard. Elle accroît en effet considérablement la mobilité du grand nombre. Dans « La fin du cheval » le journaliste et écrivain consacre l’introduction et un chapitre à la bicyclette. Des textes historiques, ou l’auteur, d’une plume alerte et militante, prédit le succès foudroyant du vélo, bientôt balayée par les voitures.
C’est en effet à la bicyclette que reviendra, dans l’histoire de la locomotion, l’honneur d’avoir secondé, à un demi-siècle de distance, l’action des chemins de fer et préparé la voie aux automobiles.
A peine surgit-elle, mignonne, fluette, défendue en 1890 par l’auteur de cet ouvrage comme elle méritait de l’être, contre les méchants propos d’une humanité routinière, que sa place est sans délai marquée sur les pas du cheval.
Il a suffi qu’un homme expliquât au peuple qu’il ne sera pas ridicule en montant sur ses deux roues. Satisfait de savoir que ceux qui riront de lui ne seront que des sceaux, le peuple de France, toujours timide quand il s’agit de progrès, et après lui l’humanité tout entière se mettent à raffoler du vélo.
C ‘est d’abord un timide essai. Rasant le terre, fuyant loin des regards malicieux, je m’en souviens comme si c’était hier, les timides néophytes s’en allaient prendre les quatre ou cinq leçons nécessaires au maintien de leur équilibre dans les chemins écartés, sur les routes désertes. Tels les premiers chrétiens célébrant les mystères de leur culte dans les catacombes de Rome.
Au passage d’un profane, piéton se rendant à son ouvrage ou bonne femme cherchant des herbes à travers la campagne, on s’arrêtait, on hésitait, on était tout honteux, on avait peur de quelque chute humiliante. Et les premiers moniteurs, gens convaincus, protestaient contre ce respect humain. Vainement, au surplus ; sous le moindre prétexte on interrompait la leçon de cette équitation bizarre pour laisser passer la philistin…
J’avoue que lorsque je sus me tenir pour la première fois d’une façon correcte sur la bête de fer, ma première pensée fut celle-ci : enfin on va pouvoir se passer du cheval ! J’entendais par là le cheval considéré comme moyen d’exercice, de promenade, de locomotion individuelle, de puissance. C’était déjà beaucoup. Et ce fut très vite une réalité.
A peine sus-je monter à bicyclette que je partis pour Rouen…
Et plus tard, les voyages succédant aux voyages, les kilomètres à travers la France, la Suisse, l’Allemagne, s’aoutant aux kilomètres par milliers ! Etait-il assez le successeur désigné du cheval, cet instrument d’une simplicité enfantine, dont une paire de roues et un cadre d’acier formaient l’essentiel gabarit !
Comme il devait frapper l’imagination des foules ! Comme il devait vaincre l’atonie, le misonéisme humain par la seule démonstration de son utilité pratique !
C’est ce qui arriva. Je lui avais donné dix ans pour conquérir le monde comme il m’avait conquis. Il en à mis trois ou quatre pour atteindre et dépasser des résultats tels que je n’avais point osé les entrevoir !…
L’emploi bientôt généralisé de ce nouveau mode de locomotion modifie nécessairement maints détails de la vie. Dans les maisons Parisiennes, les architectes sont tenus à l’avenir d’aménager des remises à bicyclettes. Une nuée de loueurs et de réparateurs sort de terre et peuple tous les quartiers de Paris. Il n’est pas un marchand de vins – et Dieu sait s’ils sont nombreux – des quartiers excentriques et de la banlieue grande ou petite qui n’ait désormais devant sa porte le râtelier destiné à recevoir les vélos de passage. Et, tandis que leurs propriétaires se rafraîchissent devant la porte, à la « terrasse », les vélos ne demandent rien. A peine une gouttelette d’huile tous les 50 kilomètres. Tels on les a placés à l’arrivée, tels on les retrouve au départ, toujours parés, comme on dit à la mer.
De quelle race de chevaux pourrait-on faire un semblable éloge ? Pas même de cette famille des arabes que Mahomet fit soigner si généreusement au lendemain de l’hégire. Triomphe de la matière sur la vie !
Les esprits grognons ont beau marmotter que c’est une mode, qui passera comme le café, suivant l’expression classique, l’apparition de la reine Bicyclette constitue vraiment un bienfait social.
Nous voici au seuil d’un siècle qui verra l’homme se séparer du cheval.
Ainsi commence la fin du cheval, un livre clairvoyant et magnifique. Sur la couverture gaufrée de la première édition, un cheval fougueux, dessiné de face par Albert Robida, roule des yeux noirs à la vue d’une cohorte de cyclistes.
Pierre Giffard y parle de la « reine bicyclette », titre de son précédent ouvrage consacré à l’histoire du vélo (la reine bicyclette, histoire vélocipède depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, Paris, firmin Didot, 1891) et formule qui sera repris sous le nom de « petite reine » Reporter et écrivain prolixe, passionné par les technologies modernes, Pierre Giffard (1853- 1922) fut un pionnier de la presse sportive et une plume de talent.
En 1891, il lança pour le compte du petit journal la course cycliste « Paris-Brest-Paris »
On lui doit aussi la course automobile « Paris-Rouen » et le Marathon de Paris (1896).
Alors qu’il est rédacteur en chef du quotidien sportif « Le vélo » son opposition avec son principal annonceur « Le comte de Dion » sur fond d’affaire Drefus, sera à l’origine de la naissance d’un quotidien sportif concurrent « L’Auto-Vélo » qui créera en 1903 le « Tour de France »
Encore une idée cadeau de Noel avec ce livre qui est un voyage. Un voyage réel – et littéraire – sur une machine qui n’a pas fini de faire tourner des milliards de jambes sur la planète : le vélo. La « petite reine »
Dans « petits cycles de bonheur », un parisien féru de philosophie et de vélo nous livre souvenir et réflexions, pour montrer l’élégance, la magie et l’universalité de la bicyclette. Il consacre quelques pages au tandem et lui attribue un fort pouvoir évocateur : l’accord parfait du couple et l’insouciance de l’été 1936.
J’ai souvent regardé les photos de Willy Ronis, particulièrement celles ou il à saisi l’atmosphère des premiers congés payés. On y voit des couples souriants, donnant une inégalable impression d’insouciance. Qui ne les envierait ? Sur l’une d’elles, un homme et une femme en train de faire du tandem, elle derrière et lui devant. Je n’ai d’ailleurs jamais vu l’inverse. C’est l’été, le seul été dont on se souvienne sans l’avoir vécu, l’été 1936.
Il s’est vendu beaucoup moins de tandems que de vélos traditionnels, mais la portée affective du tandem était trop tentante. Il incarne ce que les laborieux de 1936, à la différence des nantis, sont censés détenir. Le tandem, c’est le vélo du couple, comme si la pauvreté des travailleurs, comparée à la richesse de la bourgeoisie roulant en voiture, était compensée par leurs relations sentimentales. Pour rouler en tandem, il faut un parfait accord entre les deux acteurs, ils doivent se parler, se coordonner, pédaler au même rythme. Ne pas tricher en faisant semblant. Bref, s’entendre et tenir compte de l’autre s’ils veulent maintenir leur équilibre, avancer et arriver à bon port. La relation affective harmonieuse est un gage d’efficacité. Et sur le plan social, la place de chacun est respectée : lui devant elle derrière, le vélo conforte les règles de la société amoureuse d’alors. Elle suit, elle est protégée ; apparemment, elle ne guide pas. Dans les faits, le poids du corps situé à l’arrière agit fortement sur la conduite de l’engin, comme j’ai pu l’expérimenter à plusieurs reprises. La femme influence et n’agit pas directement, les apparences sont sauves.
Les cyclistes de 1936 sont pauvres, mais ils ont des sentiments l’un pour l’autre. Ils n’ont pas d’argent, mais ils sont jeunes, ils se parlent et ils s’aiment. Dans l’imaginaire collectif, le pouvoir des sans-pouvoir est sentimental. Ils trouvent dans les émotions de la vie ce qui leur manque par ailleurs. Quelle que soit la réalité de leurs histoires personnelles.
« Petits cycles de bonheur » édition Arléa, 2007
Petits cycles de bonheur relèvent à la fois du témoignage personnel et de l’essai. Consultant en stratégie pour les entreprises, Pierre-louis Desprez enseigne aussi la philosophie ; il a lu les grands auteurs et s’y réfère abondamment. Au fil des pages, on croise ainsi Rousseau, Freud (qui exécrait la bicyclette !), Montaigne, Pascal, Proust, Descartes ou encore Barrès, qui attribuait au vélo « la satisfaction d’un besoin antique : le vagabondage »
Un compteur Gps pas trop cher moins de 80 euros sur le net, « Le Bryton Rider 310E » Il est facile à utiliser, il vous suffit seulement de l’allumer, et vous pouvez démarrer. Il dispose de la caractéristique Marche/Arrêt automatique pour vous laisser profiter au maximum de votre parcours. La caractéristique Entrainer et Test ne permet pas seulement de planifier les sessions d’exercice à l’avance, mais aussi de maintenir un suivi du progrès des entrainements. Compatible avec le moniteur de fréquence cardiaque ANT+*, capteur de cadence* et capteur de puissance, le Rider 310 vous permettra de passer à un niveau d’exercice supérieur. L’écran est facile à lire, de grande taille, avec rétro illumination automatique, il montre simultanément jusqu’à 8 données sur 70 en temps réel, incluant des pages de données personnalisables qui vous permettent d’être toujours alerte lors de votre session d’exercice. L’option d’enregistrement GPS vous donne l’opportunité de comparer et rivaliser avec d’autres cyclistes en partageant sur les sites web d’entrainement les dossiers FIT enregistrés après les sessions d’exercice. Conçu pour tous types de cyclistes, le Rider 310 est simple, puissant et abordable.
Contenu du pack :
– Rider 310 unité principale
– Câble USB
– Support vélo
– Guide d’initiation rapide
Caractéristiques :
– Récepteur de GPS de haute sensibilité qui permet de fixer la position plus rapidement
– Il n’est pas nécessaire d’installer un capteur de vitesse Allumez-le simplement et commencez l’exercice
– Imperméabilité IPX7
– Écran de grande taille et facile à lire
– 7 écrans données personnalisables avec un maximum de 8 données par page
– Baromètre intégré pour l’entrainement sur terrain
– Tests Bryton préchargés pour s’entrainer de manière systématique
– Technologie sans fil ANT+
– Compatible avec capteurs ANT+, moniteurs de rythme cardiaque, vitesse, cadence et capteur de puissance pour entrainements avancés
– Écran anti-éblouissement pour les ballades pendant la journée et lumière claire pour la nuit
– Compatibilité pour voir statistiques de la montre, les transférer à l’application Bryton ou les charger à Strava, Training Peak et Fit Track
– Mode 1 Seg
Allumer et commencer l’entrainement
Il n’est pas nécessaire d’effectuer des réglages concernant la taille des roues, le temps et l’unité, et il n’est pas non plus utile de réaliser plus d’installations ni de l’associer avec le capteur de vitesse. Le Rider 310 dispose de toutes les caractéristiques essentielles. Vous n’avez qu’à installer le dispositif sur le support pour guidon, l’allumer, et commencer l’entrainement. Laissez-vous porter par l’expérience et profitez. Le Rider 310 se charge du reste.
Marche/arrêt automatique
Si vous souhaitez simplement visualiser le parcours en temps réel sans pour autant enregistrer les données, le Rider 310 est ce dont vous avez besoin. Avec GPS de haute sensibilité, le Rider 310 se synchronise parfaitement au mouvement du vélo. Il démarre quand vous commencez à pédaler et s’arrête en même temps que le vélo.
Simple mais puissant.
Rider 310 apporte toutes les données nécessaires pour votre session d’exercice. Facile à utiliser, il incorpore jusqu’à 70 fonctions dont : temps, vitesse, distance, calories, cadence, altitude, puissance, FC, seuil anaérobique.
Un entrainement intelligent
Avec les tests et entrainements préchargés sur votre Rider 310 et la fonction « Planifier », vous pourrez connaitre votre condition physique calculant votre fréquence cardiaque maximale et votre seuil de lactate, pour ainsi personnaliser vos entrainements de manière adéquate. La fonction « enregistrement 1 seconde » vous permet un travail fractionné plus efficace et une analyse des données plus précise. Le Rider 310 est conçu pour rendre votre entraînement quotidien simple et intelligent.
Bryton Rider 310 avec ceinture cardio en option
Connectez, téléchargez et partagez
Nous savons que vous souhaitez enregistrer vos parcours pour avoir un suivi de vos progrès et partager vos réussites avec d’autres cyclistes. C’est pourquoi nous avons fait en sorte de simplifier le téléchargement. Branchez-le simplement à votre ordinateur et sélectionnez les fichiers à partir de l’appareil. Aucun logiciel n’est nécessaire pour convertir les fichiers. Les fichiers des séances d’exercice sont automatiquement enregistrés au format FIT et peuvent être téléchargés sur les sites Internet d’entraînement les plus connus comme Strava, Training Peaks, Endomondo, Map My Ride, Fit Track et bien plus.