Pédalez, il en restera toujours quelque chose… dans le crâne !
C’est en ces termes que l’on peut résumer les conclusions d’une expérience menée par une équipe de chercheurs de l’université néerlandaise de Nimègue.
72 personnes sont invitées à se livrer à un exercice de mémorisation. Elles disposent de trois quarts d’heure pour retenir 90 associations d’images et de lieux. Sitôt l’exercice réalisé, on passe à la deuxième étape. Les 72 participants sont répartis en trois groupes de 24 :
Le groupe 1 pédalent sur un vélo d’appartement.
Le groupe 2 pédalent aussi, mais après avoir attendu 4 heures.
Le groupe 3 se reposent.
Deux jours plus tard, les 72 participants sont de nouveau réunis pour la troisième étape de l’étude. Les chercheurs leur demandent de restituer ce qu’ils ont retenu de l’exercice d’association d’images et de lieux.
Et qui gagne ? Le groupe 2 Hasard ? Pas franchement :
Les chercheurs constatent, grâce à l’IRM, que l’activité cérébrale dans la région de l’hippocampe, dont l’implication est essentielle à la mémoire, est plus importante chez les membres du groupe 2 que chez les autres.
Il n’en faut pas plus pour conclure ce que l’on vous serine à longueur de temps : l’exercice physique est bon pour la mémoire à long terme. Il est vrai que quand on bouge, on libère de la dopamine et de la noradrénaline, deux hormones qui aident à mémoriser les choses.
Mais cette étude en appelle une autre, qui expliquerait pourquoi les performances réalisées quand on pédale 4 heures après une activité cérébrale intense sont meilleures que quand on pédale immédiatement après…
Vous n’aimez pas pédaler ? Qu’à cela ne tienne, marchez ! Une étude Australienne, menée auprès d’un groupe de quinquagénaires ayant des problèmes de mémoire, à prouver que le rituel d’une bonne balade limite les dégâts.
Pendant 6 mois, les chercheurs leur ont imposé trois séances de 50 minutes de marche par semaine. Résultat : les tests de mémoire ont donné de meilleurs résultats suer eux que sur leurs petits camarades restés à la maison.
Depuis 2014 je fais beaucoup d’exercices cérébral car dû à l’apnée du sommeil j’ai eu des pertes de mémoires.
Le manque d’oxygène en cause pour moi cela à été un handicap dans mon travail, maintenant c ‘est que du passé. voir mes articles
La capacité de mémorisation de l’espace peut être mise à mal lorsque le sommeil profond est perturbé par des difficultés respiratoires.
Extrait du livre que je suis en train de lire « Votre cerveau » comment le chouchouter l’ordonnance santé de Michel Cymes
ALORS VELO ET MARCHE VIVE LE SPORT CENTRE DE LA MEMOIRE à bientôt
Thierry Mollé
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(Souvenir col des ares juillet 2017)