Comme pour le matériel de rechange, à vous de voir jusqu’à quel niveau vous avez l’intention de réparer votre vélo : si vous êtes suffisamment expert(e) pour n’avoir pas besoin d’un réparateur professionnel, si vous souhaitez seulement subvenir aux urgences et vous en remettre à ce « pro » faute de temps, de connaissances mécaniques suffisantes ou seulement de goût pour le bricolage maison.
Pince coupante en bout pour les câbles.
Pince multiple.
Jeu de clés mâles.
Clé à molette (taille moyenne, ouverture maximale 20 mm).
Clés à pipe (selon nécessité).
Clés plates à fourche (selon nécessité).
Clé 10 trous et un multi Tools comme dans la sacoche de selle de votre vélo voir article d’hier de Mercredi 5 octobre.
Clé à rayons.
Deux tournevis plats (petit et moyen), plus un cruciforme pour les dérailleurs.
Un jeu de démonte-pneu plastique.
Un dérive-chaine.
Un maillet à bout plastique (ou caoutchouc durci) pour débloquer l’expandeur de la potence du guidon.
Un démonte roue-libre correspondant au modèle monté sur votre vélo (il en existe de nombreux modèles tous différents !).
Brosses étroite (pour nettoyage de la roue-libre, de la chaine, des dérailleurs).
Une pompe avec manomètre (en plus de celle montée en permanence sur le vélo).
Burette de vaseline et graisse spéciales (vendu chez le vélociste).
Colle à boyaux (si vous en utilisez), talc (pour les chambres à air, si vous utilisez des pneus).
Un pied d’atelier pour tenir votre vélo, si vous effectuez vous-même l’essentiel des réparations.
Thierry Mollé