Sortie vélo du samedi 28 Octobre 2017 et bien encore un temps magnifique bien que le soleil brille, une impression de froid et je regrette de ne pas avoir mis des manchettes.
Mais après quelques kms d’ascension sa réchauffe.
Départ Marciac direction Bassoues après 1km500 la première ascension la côte de Laveraët.
La côte est 4e catégorie direction Bassoues alors c’est des montées et descentes passage au village de Laveraët, Mascaras, arrivée au croisement (vierge) Bassoues à droite et direction Armou et Cau Beaumarchés 14km à gauche, très belle descente ensuite très belle montée encore des côtes.
Arrêt à l’église de Armous et Cau* très beau panorama pose Banane photos et je repars direction Beaumarchés.
Passage dans le village de Beaumarchés après une belle descente.
Je tourne à gauche direction Marciac la plaine de Beaumarchés Marciac.
Parcours avec un très bon dénivelé + de 347m
39km 200 en 1h 48
Encore une belle sortie Gersoise
*Armous et Cau (un peu d’histoire)
Dans cette commune, prend naissance le Midou, cours d’eau de 105 km essentiellement Gascon jadis bordé de moulins à meule et transite « la route de César » Autrement nommée « Ténarèze » cette antique voie préhistorique du Sud Ouest de la France permettait de relier jadis Bordeaux aux Pyrénées centrales sans franchir ni pont ni gué et fut durant plusieurs siècles une des grandes routes transfrontalières et de transhumance. Séparant le bassin de l’Adour du bassin de la Garonne, elle sera utilisée et consolidée par les Romains.
Des toponymes locaux, les lieux-dits Mauran et Fontarabie, évoquent le reflux des troupes maures battues en 732 à Poitiers par Charles Martel et qui se heurteront un peu plus loin, à Bassoues, au futur Saint Fris et à ses compagnons d’arme. Armous et Cau, autrefois séparés, appartenaient initialement aux seigneurs de saint Christaud puis dépendront au XIIe siècle de l’abbaye Gersoise de la Case-Dieu, l’une des principales communautés monastiques de gascogne au Moyen Age.
Au Xie siècle, l’église d’Armous (aujourd’hui disparue) était rattachée à l’abbaye bénédictine de Saint Mont. L’église actuelle (XIX e siècle) à été bâtie avec les pierres des antiques église d’Armous et de Cau.
(Photo Thierry Mollé départ Maubourguet Tour 2014)
Les oreillettes sont des appareils émetteurs-récepteurs qui permettent d’établir une communication entre plusieurs personnes. Cette innovation est apparue dans les pelotons dans les années 1990, avec l’arrivée, sur le marché de la téléphonie mobile. Les directeurs sportifs des équipes Motorola ou encore Télékom ont pu faire les premiers tests.
Pratique des informations directement à leurs coureurs au cœur du peloton. Cette nouveauté à évidemment apporté un confort à ses utilisateurs. Rapidement, ce sont des appareils plus sophistiqués, moins encombrants et permettant une situation plus simple qui ont pris le relais. En premier lieu, les oreillettes ont permis d’accroître la sécurité en course. En effet, avant leur apparition, pour communiquer des consignes à son coureur, un directeur sportif devait d’abord remonter à hauteur de celui-ci dans le pelotons avec sa voiture. Ce ballet incessant de véhicules remontant un peloton se livrant bataille était un réel danger pour les coureurs. Souvent périlleux. Il gênait parfois le bon déroulement de la course. Ce fut donc une grande innovation qui à permis d’être plus au cœur de la course en réduisant le danger. Avec les oreillettes, tout type de d’infos remonte en temps réel jusqu’aux coureurs. Les écarts entre les différents groupes, tactique de course réajustée, signalisation de dangers sur le parcours sont autant d’atouts pour les acteurs majeurs de ce sport, le coureurs et les managers. Leur utilisation est remise en cause. Aujourd’hui un sujet qui fait débat et divise les opinions. D’un côté, ce sont les spectateurs en grande partie, mais surtout les instances du cyclisme qui souhaitent éradiquer leur utilisation. Les équipes et leurs coureurs, en grande majorité, ne voient aucun intérêt à ce retour en arrière.
Pour ma part c’est pratique mais un coureur doit être capable d’analyser lui-même le parcours, se renseigner sur la direction du vent, ses difficultés, à l’approche de l’arrivée, l’aspect technique. Beaucoup ne savent plus interpréter ces informations car perte d’habitude d’y réfléchir dû aux oreillettes.
Un cyclisme sans oreillettes sera un cyclisme plus authentique.
Ce jeudi 26 Octobre 2017 direction Plaisance du Gers avec un vent de face désagréable donc je coupe à Plaisance je passe par le pont de l’Arros, je traverse le village direction Préchac-sur-Adour ou je tourne à gauche direction Maubourguet, petite pose banane à Ju Belloc.
Passage à Labatut Rivière, Maubourguet au rond point du faubourg, je tourne à gauche direction Marciac, je tourne ensuite à droite direction Sauveterre.
Au croisement des chevaux petite photo, je tourne à droite, quelques km et à gauche direction Saint-Justin, passage devant l’ Horticulture Ets Carli.
Une petite côte ensuite passage dans le village et Sauveterre descente vers Saint Justin (pays d’Anna voir vidéo en bas de l’article), je traverse l’Arros* pour la deuxième fois et j’arrive sur la route de Villecomtal Marciac ( Bas de la grande Côte de Saint Justin) je prends la direction de Marciac je monte sur 1 km400 la côte.
Côte de Saint Justin
Très beau panorama la vallée de l’Arros* et l’Adour.
Un temps clair on peu même voir les Pyrénées. Et il fait très chaud je suis en tenu d’été (c ‘est fou encore l’été dans le Gers le 26 octobre) sur le parcours j’avais entre 24 et 28°.
Je tourne ensuite direction Ricourt reste 4km et puis je rentre Chez moi avec mes bidons vide et bien c’était super la cadence pas top mais vu le vent de face c’est normal.
Saint Justin : Pays de Anna Jorg Auteur compositeur interprète, chanteuse, pianiste, professeur de chant. une amie formidable son histoire émouvante et ses chansons. son site aj-music-studio-site-officiel.blog4ever.com
Cet article dresse la liste de quelques expressions du cyclisme avec leurs définitions classées par ordre alphabétique, il y en a beaucoup d’autres mais là ce sont les principales. Souvent quand l’on suit une course cycliste à la télé nos anciens coureurs commentateurs parlent avec des termes peloton, les jargons du coureur cycliste.
(Photo de Thierry Mollé Alexis Vuillermoz lors du Tour de France 2014 Départ à Maubourguet. Merci « Pikachu ») voir video en bas de l’article
Ajuster C’est venir devancer, sur la ligne d’arrivée ou dans les derniers mètres d’un sprint, un adversaire qui était tout près de gagner.
Allumer la mèche Commencer la bagarre, attaquer.
Arroser les fleurs Satisfaire un besoin personnel
Assurer un tempo Concerne l’allure de la tête d’un peloton, imposée par une ou plusieurs formations, régulière et assez soutenue sans être excessive. Un tempo est assurée lorsqu’on souhaite soit éviter des attaques, soit empêcher des échappés de faire le trou sans pour autant les rejoindre immédiatement.
Astiquer les rivets de la selle Cette métaphore s’applique au coureur à la peine qui reste assis à l’avant de la selle de son vélo. Autre variante : Etre/Se mettre sur les trois rivets ; Avoir la selle dans le trou du cul ; Faire du bec de selle.
Avoir de la laine sous les ongles Tenter de gagner en s’accrochant au maillot de son adversaire, se servant de cet appui pour se propulser en avant.
Avoir la pancarte Etre surveillé de prêt dans le peloton de par ses bons résultats
Avoir la bise Gagner la course
Avoir la chaussette légère Etre en forme, les jambes tournent bien.
Avoir la socquette en titane Avoir la pédale légère.
Avoir les fleurs Gagner la course
Avoir tout à gauche Mettre son plus petit braquet (petit plateau, grand pignon).
Avoir tout à droite Mettre son plus gros braquet (gros plateau, petit pignon).
Becqueter de l’aile Se faire remorquer en s’appuyant de temps à autre sur l’aile d’une automobile.
Chatouiller les pédales Cette expression exprime l’aisance, la facilité dont fait preuve un coureur, grâce à de bonnes dispositions naturelles ou à un état de forme excellent.
Compter les pavés Rouler à une allure trop lente parce qu’on n’a plus de forces pour aller vite.
Coup de cul Elévation de la route sur une distance relativement courte qui nécessite de lever les fesses de la selle.
Courir en rat Tirer honteusement parti des efforts des autres alors que l’on n’en consent soi-même aucun.
Course à la pédale Course débarrassée de trop de considérations tactiques.
Descendre à la cave Tomber du grenier à la cave, exprime un revers de fortune important et subit.
Ecraser les pédales Pédaler en force et non en souplesse en appuyant alternativement sur chaque pédale au lieu de tourner rondement les jambes.
Emmener la braquasse Adopter un très grand développement et être capable de le « tirer », ce qui n’est évidemment pas à la portée de tout le monde.
En mettre un coup sur la meule Accélérer vivement l’allure ; on dit aussi Tirer sur la meule.
Enrhumer un adversaire si l’été prochain, par temps de canicule, vous enrhumez chris froom en le doublant dans la montée vers Luz-Ardiden, c’est que vous êtes un sacré grimpeur !
En rouler une dégueulasse Effectuer un relais long et puissant pour provoquer une cassure, ou échappée ou propulser un équipier.
Enterrement de première classe Expression qui s’applique à un peloton au sein duquel tous les favoris de la course se trouvent et qui s’est plus ou moins désintéressé des coureurs échappés.
Envoyer dans la moulure Relancer la course sans discontinuer et surtout sans laisser le temps à l’adversaire de récupérer.
Dans le coffre Caché bien à l’abri du vent derrière une voiture
Etre branché Se dit d’un sportif qui se fait une transfusion
Etre collé Avoir de mauvaises sensations, ne pas avancer
Etre à la planche Travailler pour ses équipiers
Etre dans la bonne Ne pas manquer une échappée décisive, qui souvent regroupe des coureurs de premier ordre.
En croquer Se doper
En garder sous la pédale Se dit d’un coureur qui ne jette pas toutes ses forces dans la course mais se réserve en perspective de la suite des événements. S’emploie souvent quand un coureur ne participe pas ou peu aux relais d’une échappée.
Etre dans la mafia Faire partie d’un groupe de coureurs d’équipes différentes, mais dont l’intérêt est de ne laisser ni primes ni victoire à un autre.
Etre dans la roue Surveiller et marquer de près un adversaire désigné, en se mettant résolument dans sa roue sans jamais prendre le moindre relais.
Etre en ligne de chaîne : être bien posé sur son vélo rouler tout droit à la même allure, sans balancement du corps ni déhanchement des épaules.
Etre le premier des non payés Se dit en course FFC, finir par exemple vingt et unième lorsqu’il n’y a qu’une grille de vingt prix.
Etre un couraillon Cette expression s’applique, avec un peu de mépris, à un coureur médiocre ou dont l’intelligence en course est… limitée.
Faire de l’huile être à bout de force, après un long effort. Le moteur (le corps) du coureur est fatigué.
Faire la mobylette Tirer le peloton en étant à l’aise
Faire la moto Tirer le peloton en étant à l’aise
Faire de la mobylette Se faire emmener derrière un cycliste.
Faire de la patinette Se faire emmener derrière un cycliste, bien caché sans se découvrir et attaquer. Se laisser porter par la course sans y participer vraiment, tout en donnant l’impression d’être dans le coup.
Faire du bec de selle Etre assis en position avancée sur l’extrémité de la selle, à la recherche d’une force maximale. Cette attitude dénote un manque de forme au moment de produire un effort.
Faire le ménage Action menée par une équipe ou un coureur pour éliminer le plus possible d’adversaires.
Faire un saut de puce Se dit d’un coureur qui revient sur un autre profitant de l’aspiration pour le passer et le distancer.
Fumer le cigare Etre facile durant l’effort
Fumer la pipe Rien de plus facile : on est en grande forme. Dans ces moments-là on pédale facilement alors qu’à côté les autres coureurs semblent éprouver des difficultés pour suivre l’allure.
Faire l’élastique Se dit d’un coureur qui se fait lâcher plusieurs fois d’un groupe après l’avoir réintégré. Ca arrive à un coureur qui dans une bosse a de la peine à suivre le rythme; chaque accélération le sort du groupe, qu’il peut rejoindre lorsque celui-ci reprend un rythme moins soutenu.
Faire le gouvernail Etre en queue de peloton
Faire les grimpeurs Se dit d’un coureur qui fait les sprints en haut des côtes répertoriées pour essayer de gagner le classement du meilleur grimpeur.
Faire le trou Creuser l’écart, avoir mis ses poursuivants à une bonne distance.
Faire parler la classe Après avoir conduit sa course sur le plan tactique, avec l’aide de ses équipiers, prendre la direction des opérations et dominer ses adversaires en faisant seulement appel à ses qualités et à ses dons.
Faire connaissance avec la sorcière aux dents vertes crevaison ou malchance.
Faire une sortie d’hôtel Expression qui s’applique à un coureur ou à une équipe qui porte une attaque dès le départ réel de la course.
Filocher Suivre facilement l’allure d’une course.
Gagner à l’emballage Gagner en devançant ses adversaires sur la ligne d’arrivée.
Le concours de grimaces est commencé On dit que le concours de grimaces est commencé lorsque les hostilités, comme les premiers démarrages, démarrent.
Manger la luzerne Se dit d’un coureur qui, ayant perdu le contrôle de son vélo, va atterrir dans un champ. On dit aussi Piétiner la luzerne ou Brouter.
Mettre la barbiche Devance d’extrême justesse un adversaire sur la ligne d’arrivée d’une course : il faut quelquefois la consultation de la « photo-finish » pour décider du vainqueur.
Mettre la grande soucoupe Désigne de façon métaphorique le grand plateau du pédalier.
Mettre le nez à la fenêtre Tester ses adversaires en se portant en tête de la course ou en plaçant quelques accélérations afin d’évaluer leurs forces et leurs faiblesses et juger de l’opportunité de les attaquer.
Marquer à la culotte Surveiller et marquer de près un adversaire désigné, en se mettant résolument dans sa roue sans jamais prendre le moindre relais.
Mettre la chape Battre son adversaire par le plus petit écart, qui ne représente pas plus de l’épaisseur d’un boyau.
Mettre la flèche Quitter la course discrètement, pendant son déroulement, sans s’arrêter pour attendre la voiture balai et rendre son dossard.
Mettre la plaque Se mettre sur le grand plateau
Mettre un braquet d’asthmatique Utiliser un tout petit développement à l’image de l’asthmatique qui monte lentement un escalier pour éviter l’essoufflement.
Mettre un pétard mouillé Faire une attaque inutile et pas vraiment franche.
Mettre un siffleur Choisir un boyau très léger, spécialement gardé pour une course de grande importance.
Monter aux balustrades Expression de la piste pour désigner un coureur qui monte aux balustrades avant d’attaquer en s’aidant de l’inclinaison des virages pour accélérer plus violemment. Un coureur peut aussi monter dans un virage son adversaire pour le contrôler.
Monter d’une jambe Etre dans une condition telle qu’on a l’impression de pouvoir passer les bosses avec l’aide d’une seule jambe.
Passer le coude C’est notamment au cours d’un sprint et lorsque les coureurs frottent, s’efforcer d’empêcher un adversaire de passer en écartant son coude ou ses deux coudes.
Pédaler avec les oreilles Cette expression s’applique à un coureur dont le style manque de fluidité dans l’effort et qui balance la tête de droite et de gauche en pédalant.
Pédaler dans l’huile C’est le contraire de pédaler dans la choucroute, c’est à dire avec aisance.
Passer par la fenêtre Ne pas tenir le groupe dans lequel vous roulez, en se faisant distancer. Mésaventure qui survient au coureur qui surprit par une brusque accélération ne parvient plus à suivre le rythme de ses adversaires.
Prendre l’eau Se dit d’une échappée qui perd de l’avance
Prendre le bon wagon Comme pour un train servant deux directions, il faut prendre le bon wagon pour arriver à son lieu de destination.
Prendre un éclat Etre d’un seul coup lâché sans pouvoir réagir, en perdant très rapidement du terrain.
Piocher Ce verbe désigne un coup de pédale heurté et saccadé. On dit également Enfoncer des clous, Pédaler carré, Scier du bois.
Poser une mine Porter une attaque violente et soudaine.
Ramasser les casquettes Coureur ou équipe n’ayant rien gagné et ayant seulement fait acte de présence sur une course.
Rester en croustille Ne plus avoir de forces pour suivre les autres et se retrouver seul à l’arrière de la course.
Rouler en chasse patates c’est être entre deux groupes sans réussir à rattraper le 1er et sans se faire rattraper par le 2ème ou
Situation dans laquelle le coureur est encadré par deux groupes de cyclistes, sans espoir de pouvoir rattraper le groupe de devant.
Retrouver le coup de pédale Cela se dit après un passage à vide dans une course. Ca signifie également retrouver de bonnes sensations après une interruption d’activité et une reprise d’entraînement qui commence à porter ses fruits.
Rouler dans le jardin Mésaventure qui arrive à celui qui, roulant sur le bas-côté de la route, se retrouve d’un seul coup dans l’herbe avec le risque souvent de se retrouver dans le fossé et de tomber.
Rouler sur la jante Etre fatigué, exténué. Etat d’un coureur épuisé, vidé de ses forces, en comparaison avec un boyau à plat.
Se rebecqueter Retrouver des forces, perdues pendant un certain temps
Sucer la roue Rester à l’abri dans le sillage de ses adversaires en leur laissant accomplir toute la besogne et en espérant tirer profit de leurs efforts.
Talonner de l’arrière : avoir le boyau ou le pneu de la roue arrière en partie dégonflé, ce qui a pour conséquence de faire ressentir au coureur tous les ressauts de la route et toutes les inégalités de la chaussée. On peut aussi Talonner de… l’avant.
Visser la poignée Se mettre à rouler très vite et à augmenter cette vitesse à la manière d’un motocycliste qui tournerait vivement la poignée des gaz de sa moto.
Saler la soupe Se doper
Se garer Ralentir considérablement durant la course
Se retrouver dehors Ne pas tenir le groupe dans lequel vous roulez, en se faisant distancer.
Se faire l’oignon En baver
Se refaire la cerise Récupérer ses forces
Sucer la roue Etre derrière un coureur, en se mettant résolument dans sa roue sans jamais prendre le moindre relais.
Tricoter
Action d’un coureur qui pédale avec aisance, ou encore d’un coureur qui tourne très vite les jambes parce qu’il reste sur un petit développement.
(Photo de Thierry Mollé Jean-Christophe Péraud, lors du Tour de France 2014 Départ à Maubourguet)
Sortie du vendredi 13 Octobre 2017 cette superbe mâtiné dans les collines ensoleillées et la vallée de l’Adour.
Première sortie avec les pneus Hutchinson Epsilon renforce oui c’est super pour le moment à voir à l’usure je les trouve très roulants pour des tringles rigides.
Très bon parcours dénivelé+ surtout du côté de Troncens et Betplan des coins magnifiques proche de la maison.
Mon parcours Marciac, Troncens, Betplan, Villecomtal, Rabastens de Bigorre, Vic en Bigorre, direct Larreule, Parabère, Maubourguet, Auriébat, Ladeveze Rivière, Juillac, Marciac…
Parcours de 64 km durée 2h53 et 429m de dénivelé+ puissance moyenne 111w dépense d’énergie 1158kj.
Vitesse moyenne 22,1 km/h vitesse max 56,2 km/h
C’est tranquille pour certain mais je ne cherche pas à faire de la compétition. juste plaisir Personnellement, je me nourris vélo pour être en bonne santé, pour rester branché à mon sport 100% vitalité!
Coup de gueule sur les pistes cyclable de ce parcours
Quelle horreur les pistes cyclables (Rabastens et Maubourguet) sortie de Rabastens direction Vic, gravillons et trop haut c’est un trottoir partagé en deux et côté Maubourguet (croisement Larreule/ Maubourguet direction centre) voitures en stationnement sur la piste et présence de branches et gravillons ces pistes ne sont selon moi pas utilisables dans des conditions optimales de sécurité. Très mal entretenues sur les deux secteurs.
Un frein comprend : poignée, câble, gaine, étrier, patins, butée de câble. Le frein AV se fixe sur le devant de la tête de la fourche, le frein AR entre les haubans.
Les anomalies les plus courantes :
Le câble casse (de plus en plus rarement). A remplacer.
Le câble sort de la poignée à remettre en place.
Poignée et étrier ne reviennent pas (ou difficilement) en position de repos, les nettoyer, graisser, retendre le câble.
serre câble
Le frein ne se révèle pas assez puissant, mauvais réglage du câble et (où) usure des patins.
L’écrou fixant le frein au cadre (fourche AV haubans AR) est devisé, le resserrer.
Les patins ne portent plus la jante (parfois sur le pneu ou le boyau), ils sont dévissés, mal orientés ou peuvent manquer (revisser, orienter, remplacer).
Un patin frotte contre la jante, la roue est voilée ou les patins trop rapprochés ; desserrer les vis de réglage ou écarter les patins de la jante, au repos un patin doit être à environ 3mm de la jante.
L’état d’usure attention danger pour vous et la jante.
Patin porte patin en bloc
Un patin est usé, changez les deux patins à la fois. Détendre le câble, démonter le porte-patin, enlever le patin usé en le glissant hors du porte-patin pour les démontables, remettre un patin neuf, remonter le porte-patin en le positionnant de telle sorte que, sous l’effet du freinage, la jante ait tendance à entraîner le patin vers la partie fermée du porte-patin. Dans le cas contraire les patins peuvent s’échapper porte patins, vous privant de freinage. Veillez à ce que les patins s’appliquent sur la jante, non sur le pneu, retendre le câble.
Les blocs patin porte patin. Sur le porte patins shimano il y a un repère de montage soit une flèche soit une lettre L gauche R droit
flèche chez shimano d’origine
Freinage par à-coups, frein desserré, jante tordue : resserrer ou changer.
Câble insuffisamment tendu ; régler la vis de serrage.
Freinage bruyant, passez un chiffon enduit d’alcool à 90° sur les flancs de la jante, le bruit sera atténué en ôtant la surface noirâtre laissée par les patins au freinage.
Voici mes freins des années 80 les shimano 600 à tirage central ensuite je suis passé aux modolo speedy noir et aujourd’hui aux shimano 105.
Pédalez, il en restera toujours quelque chose… dans le crâne !
C’est en ces termes que l’on peut résumer les conclusions d’une expérience menée par une équipe de chercheurs de l’université néerlandaise de Nimègue.
72 personnes sont invitées à se livrer à un exercice de mémorisation. Elles disposent de trois quarts d’heure pour retenir 90 associations d’images et de lieux. Sitôt l’exercice réalisé, on passe à la deuxième étape. Les 72 participants sont répartis en trois groupes de 24 :
Le groupe 1 pédalent sur un vélo d’appartement.
Le groupe 2 pédalent aussi, mais après avoir attendu 4 heures.
Le groupe 3 se reposent.
Deux jours plus tard, les 72 participants sont de nouveau réunis pour la troisième étape de l’étude. Les chercheurs leur demandent de restituer ce qu’ils ont retenu de l’exercice d’association d’images et de lieux.
Et qui gagne ? Le groupe 2 Hasard ? Pas franchement :
Les chercheurs constatent, grâce à l’IRM, que l’activité cérébrale dans la région de l’hippocampe, dont l’implication est essentielle à la mémoire, est plus importante chez les membres du groupe 2 que chez les autres.
Il n’en faut pas plus pour conclure ce que l’on vous serine à longueur de temps : l’exercice physique est bon pour la mémoire à long terme. Il est vrai que quand on bouge, on libère de la dopamine et de la noradrénaline, deux hormones qui aident à mémoriser les choses.
Mais cette étude en appelle une autre, qui expliquerait pourquoi les performances réalisées quand on pédale 4 heures après une activité cérébrale intense sont meilleures que quand on pédale immédiatement après…
Vous n’aimez pas pédaler ? Qu’à cela ne tienne, marchez ! Une étude Australienne, menée auprès d’un groupe de quinquagénaires ayant des problèmes de mémoire, à prouver que le rituel d’une bonne balade limite les dégâts.
Pendant 6 mois, les chercheurs leur ont imposé trois séances de 50 minutes de marche par semaine. Résultat : les tests de mémoire ont donné de meilleurs résultats suer eux que sur leurs petits camarades restés à la maison.
Depuis 2014 je fais beaucoup d’exercices cérébral car dû à l’apnée du sommeil j’ai eu des pertes de mémoires.
Le manque d’oxygène en cause pour moi cela à été un handicap dans mon travail, maintenant c ‘est que du passé. voir mes articles
La capacité de mémorisation de l’espace peut être mise à mal lorsque le sommeil profond est perturbé par des difficultés respiratoires.
Extrait du livre que je suis en train de lire « Votre cerveau » comment le chouchouter l’ordonnance santé de Michel Cymes
ALORS VELO ET MARCHE VIVE LE SPORT CENTRE DE LA MEMOIRE à bientôt
Thierry Mollé
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Une chaine classique se compose d’environ 116 maillons longueur de 1,50m elle pèse 300 à 330 g selon les modèles et de différentes épaisseurs suivant le nombre de vitesses de la cassette roue libre (ou plus exactement de pignons), la largeur au niveau des goupilles de raccord est donnée à 7,1 mm pour les chaines 6/7/8 vitesses, 6,5 mm pour les chaines 9 vitesses et 5,85 mm pour le chaines 10 vitesses.
Un dérive chaine mesure 8 cm et pèse 80g en vtt et route de longue distance (route) il est prudent d’en emmener un.
L’usure de la chaine se traduit par un allongement d’où un mauvais engrènement des rouleaux entre les dents du pignon et du plateau. L’allongement vient de la diminution du diamètre intérieur de l’axe et de l’augmentation du diamètre extérieur de la douille.
Une chaine usée est toute lâche, elle se soulève et laisse apparaitre une bonne partie de la dent (au niveau de la flèche jaune voir photo) alors qu’une chaine neuve ne se soulève presque pas. Cassette et pédalier s’usent beaucoup plus vite avec une chaine usée, ces composants ont normalement des durées de vie bien plus longues, de l’ordre de 20 à 30 000 km.
La rupture d’un maillon, due à l’usure, peut survenir en pleine nature, loin de tout réparateur pour vous aider. Le dérive chaine comprend un support et une vis au bout de laquelle se trouve un ergot destiné à faire sauter ou remettre en place un rivet. Pour remettre La chaine en place, il faut la raccourcir : enlevez deux maillons à une extrémité, soit un maillon intérieur et un maillon extérieur. N’enlevez pas le rivet qui servira à réajuster la chaine, sous peine de ne pouvoir le remettre en place ; repoussez-le juste ce qu’il faut pour libérer le maillon concerné. Joignez un maillon intérieur avec un maillon extérieur en insérant un rivet avec le dérive chaine (placez la chaine sur le support). Enfoncez le rivet juste ce qu’il faut : prenez exemple sur les rivets en place ; faute de dérive chaine, servez-vous d’un marteau et d’un poinçon, remontez la chaine dans le sens de rotation habituel.
Certains pignons s’usent plus vite que d’autres de par leur utilisation plus fréquente : on peut avoir de la difficulté à engrener correctement avec une chaine neuve (200 à 300 km parfois) ; l’idéal étant de changer sa chaine tous les 5000 km, il faudrait, théoriquement, changer tous les pignons « cassette« , ce que seuls font les coureurs et cyclosportifs soucieux de leurs performances.
En cyclotourisme sur route, en entretenant méticuleusement leur chaine (attention au graissage excessif qui ramasse poussière, terre, etc. Et accentue l’usure) certains roulent jusqu’à 10 000 km avec la même chaine.
Un outil pas cher et très pratique « l’indicateur d’usure de chaine »
permet de déterminer si votre chaine doit être remplacée. Placez simplement une extrémité sur la chaine et si le côté à 0,75 % s’encastre dans la chaine c’est qu’il faudra la remplacer bientôt ; si le côté à 1,0 % s’encastre, vous devez remplacer la chaine immédiatement.
Attention ne pas posez une chaine neuve par terre, elle est graissée d’origine et vous risquez de la salir !
Attention cassette campagnolo chaine campagnolo, cassette shimano chaine shimano ou adaptable de la marque.
Les pneus de vélo route pour faire le bon choix, aujourd’hui je me pose la question. Suivant l’utilisation bien sûr et le poids tringle souple 200 grs et rigide 290g.
Chacun ses avantages et ses inconvénients.
Les tringles souples vont super bien à monter démonter, même pas besoin de démontes pneus, mais plus fragiles, risques de déjantage, moi sur 5000km je n’ai jamais eu de problème je garde quand même une bonne pression de 7kg à chaque sorties mise à part quelques microcoupure que j’ai colmatée avec de la colle caoutchouc mon petit truc pour rallonger la durée de vie de mes pneus.
Truc faire un petit mélange poudre de patin de frein avec colle une pate rebouche microcoupure laissez séchez 24h avant de rouler.
Le Tringle souple
Tringle souple est plus facile à transporter (possibilité de plier le pneu).
5000 km sans crevaison avec PNEU ROUTE LITHION2 JAUNE 700X23 TRINGLES SOUPLES / ETRTO 23-622 MICHELIN 220 GRS excellent grip la carcasse 60 TPI offre une bonne protection à la crevaison.
(MICRO COUPURE A PARTIR DE 3000KM) quand même!
Au début je me rappelle que les gens disaient pour des raisons purement logistiques et commerciales (facilité à mettre en carton et en présentoirs), les fabricants ont inventé la tringle souple j’ai découvert les premières tringles souples à mon travail dans les années 80 il y avait que Michelin en 19,20,23 mm !
Le tringle rigide
Un pneu tringle rigide sera plus lourd mais plus facile à monter et plus robuste. On trouve de plus en plus de pneus renforcés spécial cyclo sportif. Conçu pour la pratique route lors de vos entraînements et pour un usage longue durée. Poids : 290 grammes. Pneu résistant et endurant.
Je vois le pneu Hutchinson epsilon Bi-gomme améliorant grip et longévité.
PNEU ROUTE EPSILON 700X23 RENFORCED TRINGLES RIGIDES / ETRTO 23-622 HUTCHINSON 290 GRS Renfort anti-crevaison 100 % polyamide.
Je vais faire le test de ce pneu et je vous en dirai des nouvelles car nos routes sont de plus en plus accidentées dans nos campagne Gersoise.
J’ai bien retenu que :
– Tringle rigide : plus lourd, moins cher, moins sujet à déjantage et crevaison très solide. Super pour le cyclo
– Tringle souple : Plus léger, plus cher, plus sujet à déjantage endurance. Super pour la compétition
Depuis que je monte des tringles souples je n’ai pas eu de déjantage.
Je teste aujourd’hui les tringles rigide…
La roue libre se visse sur le filetage du moyeu arrière de votre vélo et le système se resserre au fur et à mesure que vous roulez.
La cassette filetage du moyeu arrière a laissé place à un nouvel élément : le corps de cassette qui accueille les pignons qui s’enfilent en suivant des cannelures. On visse enfin un écrou afin de maintenir l’ensemble des pignons.
Chez moi c ‘est roue libre
Les anomalies possibles
Un bruit inhabituel signifie souvent que des corps étrangers (sable, par exemple) attaquent le chemin de roulement des billes.
Un filetage défectueux d’un pignon fait que celui-ci tourne sur le corps de la roue-libre ; changez le pignon.
Les dents d’un pignon sont usées. Changez le pignon, car la chaine glisse dessus quand vous appuyez sur les pédales.
Une roue-libre à du jeu. Resserrez les crans du corps.
Une roue-libre casse, tournant dans le vide ou se bloquant, le cliquet ou le ressort à rendu l’âme. Changez la roue-libre.
Pour le démontage et les changements de pignons, tenez-vous-en à la notice fournie par le fabricant de roue-libre et informez-vous auprès du vélociste (les roue-libres ou cassettes de qualité supérieure les hauts de gamme on trouve de la pièce détaché) chaque marque possède ses particularités, avec différents modèles selon les marques ; ne vous servez jamais d’un démonte-roue-libre conçu par une autre marque, sous peine d’abîmer les crans du corps de votre roue-libre.